Notre dernier lauréat en date, c’est Maxime POUX ! jeune chef d’entreprise de 32 ans, il a repris en juillet 2021 l’entreprise familiale, Liametho.
Maxime s’est prêté au jeu de l’interview pour nous dévoiler ses projets !
Quelle est l’activité de Liametho ?
Le négoce de produits métallurgiques en acier, inox et aluminium et la production d’armartures sur plan. L’entreprise est localisé dans la zone industrielle d’Honfleur, au pied du Pont de Normandie.
Reprendre l’entreprise familiale, c’était votre plan initial ?
Pas vraiment ! J’étais directeur de la communication pour le groupe d’ingénierie Ginger en Île-de-France. J’avais besoin de réaliser mon propre parcours. Mon père, Jean-François Poux, pilotait Liametho depuis plus de 30 ans, suite à son rachat en 1988 avec deux associés. Lorsqu’il a souhaité lever le pied et partir en retraite, j’y ai réfléchi davantage. C’est un challenge qui a mûri pendant plusieurs mois. Je suis ensuite revenu dans ma Normandie natale pour reprendre les rênes !
Comment votre arrivée chez Réseau Entreprendre Normandie Ouest s’est-elle déroulée ?
J’ai contacté Pascal JACQUES sur les conseils de Gaelle Pignet Condal, qui a été lauréate pour la reprise d’une entreprise familiale. Je me suis tout de suite reconnu dans la philosophie de l’association. J’ai donc monté mon dossier PASS cet été, avec le soutien de plusieurs membres : Maud Bogaert, jacques chapurlat, Nicolas DUCLOS et Sylvain Bignon.
Qu’attendez-vous de votre futur accompagnement ?
Pouvoir échanger avec d’autres chefs d’entreprise sur le même territoire, qui font face à des problématiques similaires aux miennes, s’entraider… et bien sûr bénéficier d’un accompagnement dans ma gestion d’entreprise et gestion humaine, gagner en confiance dans mon nouveau statut de dirigeant et développer mes compétences managériales.
Quels sont vos objectifs pour Liametho ?
Les conditions sociales sont mon souci numéro un. Aujourd’hui, nous avons 64 collaborateurs et entre la conjoncture, le coût de la vie qui augmente… Si je peux faire bénéficier mes salariés d’avantages sans mettre en péril l’activité, c’est évident pour moi de le faire.